Mon déclic : Nora (42 ans) : « Sans alcool, je suis libre »

Nora n’a jamais pensé avoir un problème avec l’alcool : « Quand on pense alcoolique, on pense personne qui se met des grosses mines tous les week-ends. Personne qui a le visage marqué et qui a des problèmes de mémoire. Personne qui est prête à boire n’importe quoi et qui s’en rend malade. Je n’ai jamais été comme ça. Je fais attention à ce que je mange depuis toujours. Je n’ai jamais eu de black-out et je n’ai jamais couché avec quelqu’un juste parce que j’étais bourrée. Je me disais que j’avais un rapport plutôt sain à tout ça, que je maîtrisais ma consommation et même que je ne buvais que des choses de qualité qui me faisaient plaisir. Donc, pour moi, le Dry January, c’était censé être facile. Je ne m’inquiétais pas. Surtout qu’après les fêtes, j’en avais même carrément envie. »

« Je ne savais pas quoi faire en soirée quand je n’avais pas un verre entre les