Polyamour : le Dre Aga a testé l’expérience de l’amour libre
Tout ça, c’est à cause de Tim… Mon filleul, 24 ans, qu’en bonne marraine catholique j’appelle toujours avant Noël pour lui demander ce qui lui ferait plaisir comme cadeau, et j’enchaîne avec des questions de base : « Combien tu gagnes ? Qu’est-ce que tu manges ? Avec qui tu couches ? » Intrusif ? Mais non, d’autant que je m’engage à ne rien répéter à sa mère, une promesse que je tiens la plupart du temps.
En cette année 2024, stupéfaction : il s’est séparé de Laura, avec laquelle, depuis cinq ans, il formait un bébé-couple assez flippant à mon sens. « Tu vas être contente, Marraine, toi qui trouvais que je ne profitais pas assez de ma jeunesse, je suis avec une nouvelle meuf, Philomène, mais en couple ouvert, donc je m’amuse pas mal. – En quoi, tu dis ? – En couple, mais non exclusif. – Sans déconner. L’amour libre ? Le vieux truc des babas en communauté dans les 70s ? Personne n’appartient à personne, donc on se mélange dans la bergerie ? Et à la fin tout le monde se fout sur la gueule ? »
À lire aussi > J’ai testé le polyamour, et ce n’est pas fait pour moi
Tim a semblé froissé. « Mais non, rien à voir. Là, on fixe des
