J’ai arrêté l’alcool pendant 3 mois et voilà ce qui a été le plus dur, et les résultats sur mon corps
Après des vacances estivales à la campagne en juillet entre amis où je n’ai pas vu une bouteille d’eau passer, deux semaines en août en bord de plage avec de longs apéros au rosé, et une semaine au Mexique où je n’ai boudé ni la tequila, ni la piña colada, me voici rentrée à Paris, fin août, bien imbibée d’alcool. En temps normal, je bois, dirons-nous, « normalement ». Quasiment rien la semaine, à moins d’avoir un dîner ou un apéro, et les week-ends, où les soirées sont fréquentes, j’ai une tendance à bien faire la fête. Alors pourquoi choisir de faire un Dry Trimester, plutôt que d’attendre janvier, quand tout le monde ou presque est en pause, que les soirées sont plus rares, qu’on préfère rester au chaud chez soi, qu’on n’a plus d’argent après les fêtes, et qu’il est donc plus simple d’arrêter ?
Après des vacances arrosées, cumulées au soleil, j’ai voulu prendre soin de moi, de ma peau, et j’ai repensé à ce témoignage que nous avions publié sur le Dry January, dans lequel les bienfaits de l’arrêt de l’alcool étaient plus qu’évidents. Et je n’ai plus 20 ans, j’en ai 37. Je récupère