Sexualité : ces 3 pratiques anales qui émoustillent les Françaises
Caresses de la zone rectale, pénétration plus ou moins profonde… De plus en plus de femmes aiment le sexe anal. Voici les pratiques les plus appréciées par les Françaises.
Doucement mais sûrement, le sexe anal gagne le cœur (et le lit) des Français. Longtemps considérées comme taboues, les pratiques sexuelles autour de l’anus sont de plus en plus appréciées, ou du moins assumées. La dernière grande enquête de l’Inserm sur la sexualité, dévoilée le 13 novembre dernier, le montre : le pourcentage de personnes ayant déjà pratiqué la pénétration anale est passé de 23,4 % en 1992 à 35,2 % en 2006 et 38,9 % en 2023
Dans l’imaginaire collectif, le sexe anal est directement associé à la sodomie. Un stéréotype qui est loin d’être surprenant, quand sous la couette, la pénétration reste la norme dans de nombreux esprits. Pourtant, il existe une multitude de façons de faire l’amour, y compris quand il s’agit d’explorer notre zone rectale. Une étude récente, menée par des chercheurs de l’Université de l’Indiana auprès de 4 270 femmes âgées de 18 à 93 ans à travers le monde, publiée dans la revue scientifique « Plos One », lève le voile sur leurs positions sexuelles préférées. Chez les Françaises, certaines pratiques anales se classent en haut du classement.
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L’anal pairing
L’accouplage anal, plus connu sous son expression anglosaxonne « anal pairing », est la pratique préférée des femmes interrogées, concernant le sexe entre les fesses. Cette technique consiste à caresser l’entrée et l’intérieur de l’anus, tout en stimulant d’autres zones érogènes ( pénétration vaginale, toucher du clitoris…). Ces caresses de part et d’autre du corps suffiraient à certaines pour atteindre le septième ciel.
L’anal surfacing
40 % des répondantes aiment l’« anal surfacing ». Comme son nom l’indique, cette pratique consiste à stimuler la région anale et périanale en surface, sans aucune pénétration. De quoi faire monter l’excitation par de simples caresses.
L’anal shallowing
L’ « anal shallowing » est une pénétration anale très peu profonde, avec le bout d’un doigt, d’un pénis ou d’un sextoy. 35 % des sondées en sont adeptes, contre seulement 12,9 % qui préfèrent une pénétration plus en profondeur. Pour bon nombre de femmes, les stimulations superficielles semblent donc être le maître-mot.