Santé

Sexe et transports : ces lieux où les Français fantasment de faire l’amour pour la Saint-Valentin


30 % des personnes interrogées aimeraient avoir des rapports sexuels dans un aéroport, y compris dans les toilettes, pour célébrer l’amour le 14 février, selon une nouvelle étude dévoilée par LELO.

S’envoyer en l’air dans les toilettes d’un train, cap ou pas cap ? À l’approche de la Saint-Valentin, la marque de sextoys LELO dévoile une enquête exclusive sur les transports où les Françaises et les Français aimeraient faire l’amour le 14 février, s’ils avaient le choix. Si 44,2 % des personnes interrogées désapprouvent  les activités intimes dans les lieux publics, 18,2 % y adhèrent avec enthousiasme.

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40 % rêvent de faire l’amour dans un train à la Saint-Valentin 

Cette étude, qui explore les comportements amoureux et sexuels dans les lieux publics, a été menée par l’institut de recherche Censuswide, auprès de 1 000 personnes âgées de 18 ans et plus en France. Le train se hisse en première position : 40 % des sondés fantasment de faire l’amour dans ce type de transport en commun, incluant les trains de nuit, les TGV ou encore les wagons couchettes qui offrent davantage de discrétion. 30 % aimeraient avoir des rapports sexuels dans un aéroport, que ce soit dans les toilettes de Roissy-Charles-de-Gaulle, dans une salle de repos ou des « coins isolés » de l’aéroport. À la troisième marche du podium, les gares attirent 20 % des participantes et participants au sondage, qui évoquent « les toilettes de la gare du Nord ou de Nantes », les quais ou les espaces publics, comme « une station de train SNCF à Amiens ».

Métro, bus, taxi : des lieux atypiques pour des rapports sexuels le 14 février

10 % des personnes interrogées citent d’autres transports en commun, tels que le métro (à une station ou dans une rame), le bus, l’avion, le ferry ou encore l’ascenseur.  « Dans les lieux inattendus, certains répondants mentionnent des espaces inhabituels comme les ascenseurs » ou les « WC d’un train », rapporte le fabricant d’objets sexuels. Et d’ajouter : « Ces lieux, bien que restreints, offrent une discrétion relative qui semble encourager ce type de comportements. » Certains répondants partagent même des expériences déjà vécues : dans un « bus au Brésil » ou dans un « Taxi à Doha ».

« Les réponses révèlent une diversité de comportements allant de la recherche de discrétion dans des espaces confinés comme les ascenseurs ou les toilettes, à des choix plus exposés ou même itinérants », lit-on encore dans le communiqué. « Le RER B entre Aulnay-sous-Bois et Paris », figure parmi ces espaces en mouvement, qui font fantasmer les Françaises et les Français.

Fantasmes sexuels : des divergences générationnelles et géographiques 

« Les transports publics, longtemps considérés comme de simples lieux de passage, se révèlent aujourd’hui être des terrains d’expression personnelle et de connexions humaines inattendues. Cette évolution témoigne d’une société en quête de spontanéité et d’un équilibre entre audace et traditions » déclare Amandine Ranson, responsable marketing et communication en France de LELO.

Pour autant, ces comportements et fantasmes sexuels sont marqués par des divergences, voire des fractures générationnelles, géographiques et culturelles. En effet, les 18-24 ans affichent une tolérance plus élevée, avec environ 50 % des répondants qui approuvent ou restent neutres à l’idée d’avoir des pratiques sexuelles dans les transports publics. À l’inverse, les 55 ans et plus expriment un rejet massif, avec 80 % de désapprobation. 

Sur le plan géographique, des villes comme Rennes (57,35 %) et Reims (52,5 %) sont les plus conservatrices, tandis que Paris et Nice, avec leurs taux d’approbation plus élevés, incarnent une vision plus libérale et ouverte de l’intimité dans les lieux publics. 

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