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Jerando ou l’art de travestir les faits pour régler ses comptes

Le mercenaire Hicham Jerando, d’abord planqué au Canada avant de se volatiliser en Indonésie, et toujours obsédé par le Maroc, semble bien évidemment décidé à s’attaquer toujours aux institutions et symboles sécuritaires du Royaume. Voulant faire feu de tout bois, le voilà qu’il s’en prend avec la mauvaise foi qui le caractérise à l’opération réussie jeudi près de Sidi Kacem de neutralisation d’un remorque à bord duquel était transporté quelques 26,8 tonnes de drogue.

Le délateur de pacotille, qui a vu dernièrement les autorités sécuritaires et judiciaires arrêter des membres de sa famille pour des délits aggravés de banditisme, le vol de données privées de portables de citoyens, des activités interdites par la Loi en constitution de bande criminelle organisée, de mensonges voire d’insultes à l’endroit de personnalité ou de citoyens tout simplement, n’a plus d’autre choix que de s’enfoncer dans une méprisante campagne de haine et une obsessionnelle propension à nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

On croit rêver : à l’en croire, la police marocaine n’a donc pas le droit – disons le devoir – d’interpeller un véhicule transportant la drogue ! La police est ainsi critiquée, malmenée par les habituels propos « crasseux » de ce pauvre et pitoyable exilé qui se bat contre des moulins à vents, devenu une boîte postale ni plus, ni moins de tous ceux qui, l’alimentent en ragots à partir du Maroc, qui ont maille à partir avec leur pays, sa justice et qui entendent régler leur compte avec cette dernière.

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Hicham Jerando n’est rien d’autre que le petit postier de frustrés en mal de vengeance, cette voie solitaire dont on a compris dès le départ qu’elle manque de courage, qu’elle est alimentée par les adversaires et les ennemis de notre pays. Le contempteur de son pays qu’est Jerando a bien entendu un problème avec la justice – lui et certains membres de sa famille – parce qu’ils contreviennent à la justice, répandent des mensonges et constituent une bande de hors-la-loi.

Reclus dans son « exil » , familier du mensonge grossier, assoiffé d’une malveillante vengeance, collaborateur de toute évidence des services étrangers hostiles au Maroc, complice de cette 5ème Colonne qui, tapie derrière la façade ici même, travaille en sous main pour déstabiliser nos institutions, il est devenu le vulgaire rapporteur d’une triste passion : répandre le mensonge, s’ériger en donneur de leçons, sans foi ni loi.

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