Exit le mariage, les enfants et la cohabitation : la Gen Z opte pour le « bold love »
Plus de la moitié des jeunes adultes de 18 à 34 ans sont adeptes du « bold love », cette tendance amoureuse qui s’éloigne des attentes sociétales, selon une étude Fruitz.
Cocher des cases en amour n’intéresse pas la génération Z. Preuve en est, une nouvelle étude menée par l’application de rencontres Fruitz, auprès de personnes âgées de 18 à 34 ans. En ce début d’année 2025, les jeunes adultes ont des envies de liberté, de relations qui leur ressemblent, loin des attentes sociétales d’antan. Ainsi, parmi les tendances amoureuses qui ressortent de ce sondage, le « bold love » se libère des règles préétablies, pour des histoires d’amour plus authentiques et épanouissantes.
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Qu’est-ce que le « bold love » ?
Faire de soi sa priorité. C’est l’un des mots d’ordre de la Gen Z. En ce sens, les personnes adeptes du « bold love » misent sur l’indépendance, la conscience de soi et la sérénité. Leur leitmotiv ? « Moins de pression, on s’aime à notre façon. » En effet, deux célibataires sur trois (64 %) tirent un trait sur les normes des générations précédentes et prennent le contrôle pour écrire leur propre histoire, selon l’enquête réalisée par Fruitz. Aussi, 71 % des personnes interrogées considèrent que leur génération est plus ouverte et plus flexible en amour. Pour cause, la moitié des sondés trouvent que les rencontres étaient plus simples dans le passé, mais qu’elles étaient souvent limitées par les attentes traditionnelles. Résultat, 60 % des jeunes célibataires refusent de faire des étapes conventionnelles telles que le mariage, les enfants ou la cohabitation, des objectifs à atteindre.
« Indie living », patienter avant d’emménager avec son partenaire
Dans le même esprit, 60 % des répondants mettent un point d’honneur à prendre leur temps de faire vraiment connaissance avec leur partenaire et de renforcer leur sécurité émotionnelle avant d’ emménager ensemble. C’est ce qu’on appelle la tendance « indie living ». Plus concrètement, 44 % préfèrent attendre jusqu’à un an avant de s’installer sous le même toit que leur compagne ou leur compagnon, pour conserver leur espace personnel. Avancer à son rythme et s’écouter avant tout, en somme.